prénom : adèle nom : giesa âge, date de naissance : 17/05/1996, vingt ans lieu de naissance : paris paname origines, nationalité : allemandes (mère), françaises (père) orientation sexuelle : hétérosexuelle occupation : à la tête de l'armée révolutionnaire des gamins de la rue et des perdus dans la société. et puis caissière. situation financière : ça va. statut civil : célibataire. traits de caractère : farouche, intrépide, courageuse, débrouillarde, cool, relax, impulsive. célébrité : cailin russo groupe : les kiffants
ton plat préféré : un panini ta boisson alcoolisée préférée : vodka plutôt chat ou chien : chien ta relation avec tes parents en un mot : inexistante t'es un bon menteur : oui quelles sont les trois choses que t'apporterais avec toi sur une île déserte : nourriture / bateau / des vêtements une de tes peurs : la voracité mensongère des hommes ton adolescence en un mot : cool le pays que t'aimerais visiter : italie ton plus grand regret : ne pas avoir vingt ans pour toujours ta plus grande fierté : ma tribu ta chanson du moment : paradis perdus
toi et la clope, c'est souvent ? 2 est-ce que tu vas souvent au McDo ? 4 t'aimes les repas gastronomiques ? 0 en soirée, tu commences d'abord par la bière ? 3 le petit-déjeuner le matin, c'est obligatoire ? 4 les animaux, c'est ton truc ? 1 la plage, t'aimes ça ? 4 tu rêves de vivre à la campagne ? 2 voyager fait partie de tes plans pour l'avenir ? 2 les enfants, ça te fait peur ? 2 biarritz, c'est une ville animée ? 5 quand tu sors, tu rentres seul(e) ? 1 tu respectes le code de la route ? j'ai pas le permis ok
HYA (paupau) pseudo/prénom : tmtc c'est écrit au dessus âge : regarde ailleurs pays : france type de personnage : inventé qu'est-ce que tu penses de LOL : je l'aime la preuve je suis là (auxence, maïa, auriane come back) quel niveau d'intervention laisses-tu à aléas de la vie : trois crédits : balaclava dernier mot : jvm
Sujet: Re: CHLORURE D'HYDROGENE Mar 22 Nov - 17:55
les grenouilles d'aristophane
(01) y a la rue qui jette des regards enflammés aux trottoirs, des gouttelettes de pluie qui jonchent le bitume. ou alors le soleil qui perce de ses rayons des traces lumineuses dans lesquelles des vapeurs remontent le ciel illuminant les journées moroses des passants mornes. et puis, la nuit, dans l'allure brinquebalante du doute, et du soir chaleureux, des pas qui trouvent le moyen de glisser sur les surfaces planes de l'asphalte, qui épousent aussi les grains de sable. le lendemain matin l'aube se détache fulgurante vision. ciel clair. et chaque matin, là, y a toujours des spectateurs qui maîtres de la rue s'emparent du matin. (02) chaque jour un bip familier qui sonne faux, duquel on voudrait tous s'échapper, des gens qui disent bonjour, au revoir, merci, des je vous dois combien et des chiffres pas milliers. voilà, une vie qui s'achève comme une autre qui commence. pleins de caissiers à la suite qui ferment les yeux sur le monde. dans un supermarché banal. (03) ils sont trois, trois ça fait deux et un, un et un et un, trois ou rien, deux frères et une sœur, eux personne ne le voit jamais. elle, tout le monde la connaît, c'est adèle. y avait un père et une mère aussi, mais eux, ils sont à paris, toujours paris, et puis les frères, ben, ça dépend. chacun vit sa vie, l'aime, la déteste. tant pis. ils se sont construits ailleurs. (04) si elle n'avait pas été caissière, elle aurait été navigatrice sur un bateau, un catamaran, elle aurait fait le vendée globe en solitaire. parce que même si elle a des amis, elle trouve que la solitude, ça peut être un chouette moyen pour s'échapper doucement de la houle citoyenne. et puis, elle accepterait bien quelqu'un sur son bateau, ou quelqu'un l'accepterait. (05) dans la vie, il faut savoir ce qu'on veut. si on la suit, elle nous guide, nous offre ce qu'on a toujours voulu. un livre dit souvent la vie s'amuse, elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d'un rideau. embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud. il faut faire attention aux détails. ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. voilà, ce qu'elle voulait, c'était des petits cailloux autant que des diamants. elle voulait des détails. elle voulait s'arrêter, boire un coup. elle voulait soulever les tickets de métro. elle voulait tout comme elle ne voulait rien. elle aimait ça. vivre pour rien. (06) quelque chose sur l'amour. un autre dit faisant dévier mes chemins il m'a déchirée et il a fait de moi une horreur... alors l'amour, on le remet pour plus tard. pas le temps d'y penser. on embrasse utile, on embrasse furtivement, on embrasse passionnément, mais on embrasse pas amoureusement. pas tout de suite. quand il viendra, l'amour sèmera autant de crimes que de bonheur. (07) sept, chiffre magique. adèle, au collège, a fait du latin, et pour elle, le sept, c'est magique. (08) les chiens, c'est magique. ce serait un bon cadeau d'anniversaire. (09) et concernant la mort, il y a pour la première fois, il te vient le désir de mourir. adèle pense que la mort, elle l'atteindra quand elle le voudra. et inversement, la mort la frappera quand elle le voudra. des fois, elle a envie de s'échapper, de crier, de tomber, et puis, oui, quand les utopies hypothétiques lui tournent le dos, de mourir, de s'enfoncer dans le chemin sinueux des torpeurs arides. (10) la vie est un drôle de truc dont il faut savoir s'en servir, certes. adèle trace son bout de chemin à travers biarritz, les pieds dans le sable ou dans la mer, la tête renversée et dans les bras d'un garçon, des chimères perpétuelles et de la vodka par litres. voilà, elle a décidé de vivre, vivre, vivre encore longtemps avant de partir. et de vivre bien. malgré tout. parce qu'en plus d'être drôle, la vie, elle lui offre un panel de bonnes choses à saisir.
pour le cinq, les écureuils de central park sont tristes le lundi, katherine pancol pour le six et le sept, lambeaux, charles juliet.
cf ci dessus, reozugouo
Dernière édition par Adèle Giesa le Mar 22 Nov - 18:40, édité 2 fois
âge : vingt-sept ans, bientôt vingt-huit, d'ici début mars. job/étude : tu sors de prison. avant, t'étais un caïd, un chef de gang. trafic d'armes, de drogues, de prostitués, tu faisais dans les casses et compagnie. mais t'es tombé pour sauver la mise à un gamin de ton gang.
Sujet: Re: CHLORURE D'HYDROGENE Mar 22 Nov - 18:35
BIENVENUE CHEZ TOI en plus, tu prends cailin hâte d'en savoir plus
âge : vingt-sept ans, bientôt vingt-huit, d'ici début mars. job/étude : tu sors de prison. avant, t'étais un caïd, un chef de gang. trafic d'armes, de drogues, de prostitués, tu faisais dans les casses et compagnie. mais t'es tombé pour sauver la mise à un gamin de ton gang.
Sujet: Re: CHLORURE D'HYDROGENE Mar 22 Nov - 18:53
je suis complètement d'accord, j'ai dévoré ta fiche et j'me devais de te le dire avec, plaisir pour n'importe quel lien/rp